"Je dérape, perdant le contrôle de mes mouvements, c'est difficile de courir sur une pente engraissé par les maux, mais j'avance, sans broncher, histoire de montrer à quel point je suis fort. Histoire qu'on analyse mes paroles différemment de l’accoutumé. Et oui, je suis introverti, mais cela ne regarde que moi...
Si nous perdons le contact, crée par nos regards hasardeux, le temps stopperas sa course... nous aurons pu nous unir mieux, comme ont dit s'unir devant dieu, puisque ici tout s'évanouit. Puisque ici tout se perd, tout n'est qu’éphémère... Puisque rien ne vaudras la candeur naturelle de nos pleurs, ceux qui font taire... Ceux qui font taire les dires des hypocrites. Ne lâche pas ma main, s'il te plait, laisse moi encore quelques temps a flots... Mon triste "Sort", ne veux pas encore couler, il est trop tôt...
Si nous perdons le contact, crée par nos mots orgueilleux, nos mots malheureux, les vents soufflerons, les marée monterons, histoire d'inversé cette tendance insipide, qui s’apprête nous tomber dessus... J'ai trop couru a contre sens... mes jambes n'en peuvent plus... Mon âme ne supporterais pas une autre traversé. Je finirais donc par prendre le large, dans un élan tendancieux... J'ai martelé les papiers de mots, pour laisser s'échouer sur le sable fin, certaine chose, émergeant de mon océan..."
Si nous perdons le contact, crée par nos regards hasardeux, le temps stopperas sa course... nous aurons pu nous unir mieux, comme ont dit s'unir devant dieu, puisque ici tout s'évanouit. Puisque ici tout se perd, tout n'est qu’éphémère... Puisque rien ne vaudras la candeur naturelle de nos pleurs, ceux qui font taire... Ceux qui font taire les dires des hypocrites. Ne lâche pas ma main, s'il te plait, laisse moi encore quelques temps a flots... Mon triste "Sort", ne veux pas encore couler, il est trop tôt...
Si nous perdons le contact, crée par nos mots orgueilleux, nos mots malheureux, les vents soufflerons, les marée monterons, histoire d'inversé cette tendance insipide, qui s’apprête nous tomber dessus... J'ai trop couru a contre sens... mes jambes n'en peuvent plus... Mon âme ne supporterais pas une autre traversé. Je finirais donc par prendre le large, dans un élan tendancieux... J'ai martelé les papiers de mots, pour laisser s'échouer sur le sable fin, certaine chose, émergeant de mon océan..."